Article
Vérifier l'étendue de sa protection sociale (sécurité sociale, employeur, conjoint…)
Achevé de rédiger le 08/03/2013
Certains salariés ont de la chance, en plus de la protection sociale obligatoire, ils travaillent dans un secteur qui a une excellente convention collective nationale et mieux, dans une entreprise de ce secteur encore plus généreuse que la convention collective. Bref, en cas de souci, ils sont si bien couverts, qu’il est possible qu’ils ne supportent presque aucune perte financière.
Mais tout le monde ne travaille pas dans un grand groupe du CAC 40 et avant de s’assurer tous azimuts, il convient de vérifier comment vous serez indemnisé en cas de problème.
En cas de décès, vérifiez les montants des capitaux et rentes qui seront servis au conjoint survivant, voire aux enfants :
par vos régimes sociaux obligatoires et d’entreprises,
mais aussi par les caisses de retraite complémentaires ou facultatives (pension de réversion),
ou encore par la caisse d’allocations familiales qui dans certains cas, verse également des prestations.
Pour ce qui est des arrêts de travail ou de l’invalidité, tournez-vous toujours
vers la Sécurité sociale (ou son équivalent pour les professions indépendantes)
et vers vos régimes complémentaires d’entreprises.
Rédigé par Mireille Weinberg
Document(s) lié(s)
La présente documentation est la propriété exclusive de GVfM. Elle a pour objectif d'aider l'internaute dans sa compréhension des offres et des mécanismes de services financiers, ainsi qu'à contribuer à l'éclairer dans sa démarche de choix. Toute reproduction, représentation, diffusion ou rediffusion, en totalité ou partie, du contenu du site (textes, images, vidéos, extraits sonores…), sur quelque support ou par tout procédé que ce soit (notamment par voie de caching, framing) de même que toute vente, revente, retransmission ou mise à disposition de tiers de quelque manière que ce soit sont interdites. Le non-respect de cette interdiction constitue une contrefaçon susceptible d'engager la responsabilité civile et pénale du contrefacteur.