Article
Quel est le « ticket d’entrée » pour acheter une SCPI ?
Achevé de rédiger le 31/08/2020
Question pratique : Quel est le « ticket d’entrée » pour acheter une SCPI ?
L’investissement minimum est très largement inférieur à celui effectué dans la pierre en direct.
Le « ticket d’entrée » est de l’ordre de 1 000 €. Quelques SCPI sont même accessibles avec le seul achat d’une part à 150 € ou 200 € (exemple : Eurofoncière 2 de La Française accessible à partir d’une part à 252 €).
La recommandation, des opérateurs du marché eux-mêmes est plutôt d’investir au minimum 4 000 € à 5 000 €.
Mais si l’épargnant recherche un complément de revenus significatif il faut un investissement conséquent et dans la durée, tout comme dans l’immobilier en direct.
Par exemple, pour 300 € net mensuels de revenus, un retraité imposé à 14 % dans la tranche marginale, devra investir au moins 120 000 € dans une ou plusieurs SCPI offrant un rendement annuel de 4,5 %.
Rédigé par Cyrille Chartier-Kastler
Document(s) lié(s)
- Où et comment acheter une SCPI ?
- Faut-il mieux investir dans une seule SCPI ou plusieurs ?
- Quel est l'intérêt d’acheter à crédit des parts de SCPI ?
- Quels sont les avantages de l'acquisition de parts d'une SCPI démembrée ?
- Quel est l'intérêt d'acheter des parts de SCPI au sein de l'assurance-vie ?
- Quelle est la durée minimale d'investissement recommandée dans une SCPI ?
- Comment revendre ses parts de SCPI ?
La présente documentation est la propriété exclusive de GVfM. Elle a pour objectif d'aider l'internaute dans sa compréhension des offres et des mécanismes de services financiers, ainsi qu'à contribuer à l'éclairer dans sa démarche de choix. Toute reproduction, représentation, diffusion ou rediffusion, en totalité ou partie, du contenu du site (textes, images, vidéos, extraits sonores…), sur quelque support ou par tout procédé que ce soit (notamment par voie de caching, framing) de même que toute vente, revente, retransmission ou mise à disposition de tiers de quelque manière que ce soit sont interdites. Le non-respect de cette interdiction constitue une contrefaçon susceptible d'engager la responsabilité civile et pénale du contrefacteur.